Société

Les 200 titres de presse les plus aidés en 2014

Publié le Mis à jour le

Le ministère (dit) de la Culture et de la Communication vient de publier le tableau des 200 titres ayant le plus bénéficié des aides publiques à la presse en 2014. Toutes les familles de presse sont concernées : journaux et magazines, presse dite d’information, spécialisée ou de loisir. L’objectif de ces aides est (défense de rire !) de « consolider le pluralisme de l’information et de favoriser la diffusion de la presse, dans sa diversité (sic !) sur l’ensemble du territoire ».

En matière de diversité, nous ne sommes pas déçus. Dans ce marigot de la bien-pensance, on peut retrouver (dans l’ordre décroissant des soutiens financiers) : Le Figaro, Aujourd’hui en France, Le Monde, La Croix, Ouest France, Libération, Télérama, l’Humanité, l’Obs, l’Express (plus de 90 millions d’euros pour ces dix titres). Que du beau monde !

On trouve également en 74e position Jeune Afrique (503 804 euros), en 86e position CFDT Magazine (402 448 euros), en 133e position CGT Ensemble (212 404 euros), en 176e position France Antilles Martinique (131 297 euros), publications de très hauts intérêts comme tout le monde sait.

Le très sioniste Valeurs actuelles se classe en 53e position avec 961 026 euros de subvention.

Notons enfin que le quotidien Présent perçoit 362.745 euros de subventions (95e position).

Pour aider la presse du système, les Français ont été ponctionnés en 2014 à hauteur de 226 790 773 euros.

003 CHARD POLICE DE LA PENSSE liberte PRESSE POLICIER  REVISIONNISME

Laurent de France

Gauche “sociale” corrompue : « enquête en cours »

Publié le Mis à jour le

Si le pillage du patrimoine national par les ministres et présidents républicains est hélas désormais bien connu – mais rien n’est fait pour qu’il cesse ni pour que les individus qui s’y sont livrés ne soient traduits en justice et sévèrement châtiés –, les comportements tout aussi scandaleux des maires et élus municipaux parfois de petits villages l’est moins. En guise d’illustration, voici le cas de Sérifontaine, petite commune rurale de 2 800 habitants.

René Grousset, l’ancien maire communiste, a commandé 85 téléphones mobiles et 17 tablettes numériques et leurs abonnements pour trois ans, juste avant… de perdre les élections municipales.

Mais ces appareils ont disparu avec l’ancienne municipalité rouge. Depuis, l’enquête piétine malgré le dépôt de plainte par la nouvelle municipalité sans étiquette politique : personne ne sait pas qui utilise les appareils. De plus, SFR, qui a signé ce contrat très rémunérateur et évidemment surdimensionné par rapport aux faibles besoins d’une petite bourgade, souhaite encaisser jusqu’au bout les 200 000 euros d’argent public ainsi volés aux Français par un gang marxiste, dont le caïd plaide l’amnésie, l’ancien édile local prétendant ne plus avoir « tout ça en tête ».

La même municipalité de gauche avait voté un emprunt de 500 000 euros le 14 octobre 2013 prétendument pour « financer les investissements »…

Selon les informations recueillies par nos soins, les services de l’État sont en cause, ayant laissé passer sans vérification des notes de frais injustifiées, et autorisé le paiement de dépenses par simple note administrative, là où les montants auraient parfois exigé le recours à un appel d’offres public en bonne et due forme. Pour preuve, du personnel de la trésorerie a été « muté », en toute discrétion.

corruption-moraliser-la-vie-publique-solution-jn--749x451

À Morlaix, l’extrême gauche se mobilise pour un délinquant étranger au parcours éliewieselien

Publié le Mis à jour le

Tigran se présente comme Arménien ; comme des millions d’autres, il a violé les frontières de la France et s’est imposé sur notre terre contre la volonté du peuple français. Sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), il est toujours présent en France, paradant dans les rues de Morlaix (Bretagne) et bénéficiant de toutes les attentions de la presse aux ordres locale.

Malgré la forte agitation de l’extrême gauche et le relais des médiats du système, seules quelques dizaines de Morlaisiens ont « soutenu » le délinquant, auquel l’asile politique a été refusé. Comme à Paris ces derniers jours, parmi ces quelques dizaines d’extrémistes figurent surtout des “personnalités” politiques en mal de reconnaissance, dont des cadres du Parti “socialiste”.

Cette histoire n’aurait rien de remarquable si les soutiens de Tigran et la presse d’extrême gauche ne relayaient complaisamment et sans sourciller « l’histoire » de l’Arménien. Elle est si extraordinaire qu’elle semble issue des Contes des 1 001 Shoah. Il est vrai que pro-Tigran on voté majoritairement pour François Hollande, croient que Clément Méric fut victime d’une agression fasciste, et que les Allemands, en pleine guerre et souffrant d’innombrables pénuries, ont exterminé dans des chambres à gaz, le chiffre est très précis, 6 000 000,00 de Juifs.

Voilà le témoignage tenu pour vrai par Marylise Lebranchu et que n’auraient renié ni Misha Defonseca, ni Gilles Bernheim, tel que publié par Le Télégramme :

« Si Tigran a fui son pays, c’est pour échapper à une peine de prison prononcée il y a sept ans. À l’époque, en 2008, il est membre d’un parti d’opposition [il faut vraisembablement comprendre : « terroriste d’extrême gauche »] en Arménie qui dénonce “le trucage” des élections présidentielles. Dans la foulée, il écope alors de six ans et quatre mois d’emprisonnement. Le motif ? “Des coups et blessures totalement imaginaires”, selon son comité de soutien morlaisien […]. Tigran s’est alors réfugié en Russie. Jusqu’à ce qu’il soit tabassé, le 9 mai 2014. “Je me trouvais sur la place Rouge [évidemment : la scène aurait été inventée à Paris, elle se serait déroulée sous l’Arc de Triomphe], à Moscou, quand j’ai été frappé par des skinheads violents et racistes” [étrange pour un pays où Maxim ‘Tesak’ Martsinkevich a écopé de trois ans de prison pour avoir simplement évoqué des attaques d’étrangers], explique l’Arménien. “La police est alors arrivée sur les lieux. Mais, au lieu de poursuivre mes agresseurs, ils m’ont arrêté. Et quand ils ont découvert que j’avais été condamné en Arménie, ils m’ont roué de coups eux aussi”, raconte-t-il. Conduit à l’hôpital, il va parvenir [évidemment] à s’échapper ».

Il n’est pas précisé si ce fut avec l’aide d’une meute de loups. Peut-être les mêmes qui avaient sauvé Misha Defonseca et qui, 72 ans plus tard, on fait le chemin inverse ?

Selon Le Télégramme, qui relate cette histoire extraordinaire, Tigran et son fils – il n’est jamais question de la mère de l’enfant – ont « monté leur dossier de demande d’asile. Sans parvenir à convaincre les autorités ». On se demande vraiment pourquoi.

Rappelons que l’Arménie – comme la Russie d’ailleurs – est membre du Conseil de l’Europe, mais que Tigran n’a visiblement aucune envie de faire un recours contre son jugement dans son pays.

Konk-Menace

En République, on tue les handicapés et les enfants à naître, mais… les détenus font du surf

Publié le Mis à jour le

C’est une innovation due aux politiciens du régime. Ont-ils voulu s’assurer, pour le cas quasi impossible où l’un des leurs finirait en prison, qu’il puisse continuer à mener la belle vie ? Corrompu comme Serge ‘Dassault’ Bloch, insulteur et agresseur raciste comme Razzy Hammadi, escroc récidiviste comme Patrick Balkany, voleur condamné comme Jean-Christophe Cambadélis – arrêtons-nous ici, de Jean-Marc Ayrault à Thomas Thévenoud, les égouts de leurs parlements en vomissent par dizaines –, nombreux sont ceux qui devraient y croupir. Heureusement : Christiane Taubira veille.

Au centre de détention de Plouharnel, en Bretagne, les détenus peuvent s’adonner à toutes sortes de sports-jeu-thérapies : le jonglage, le théâtre, mais aussi le surf. Quand certains Français peinent chaque mois à épargner quelques euros, les prisonniers, eux, bénéficient de « stages et animations toute l’année ». Malgré la crise est-il précisé : il y a des priorités. C’est une journaliste qui le note : dans ces lieux, les hommes sont vite « gagnés par l’ennui et la dépression », eux qui n’ont fait que voler, agresser des grands-mères, commettre des attouchements sexuels ou incendier des voitures.

//vk.com/video_ext.php?oid=-59782246&id=171179716&hash=e16270a5c2885bfb&hd=2
http://vk.com/video-59782246_171179716

Les millions de Français rackettés par la mafia républicaine et qui ne peuvent même pas offrir à leur famille une semaine de vacances apprécieront. Avec leur argent, des criminels et des délinquants reconnus coupables et condamnés se voient eux offrir, en plus de cours de philosophie-jonglage – « si on essaye pas et qu’on rate pas, on progresse pas, donc ça valorise aussi tous les parcours […] avec des échecs des réussites, etc., et que les échecs justement, ça permet d’apprendre, de continuer » –, de théâtre, de musique, etc., des cours de surf au grand air.

Car il ne s’agit pas que la prison sanctionne une atteinte à la société non : selon les journalistes, ce qui importe, c’est « leur redonner une vision d’avenir ». Ces détenus sont « en phase de réinsertion », il faut les « préparer psychologiquement »,

Le surf leur apprend que « pour continuer, il faut persévérer ». Car pour les journalistes, il y a encore un autre fait important : ce ne sont pas ce qu’en pensent les victimes ou ce qu’a à y gagner – ou y perdre – la société, mais que les condamnés « retrouvent enfin [leur] liberté ». Et cela doit « empêcher la récidive ». L’eau doit être froide pour qu’ils n’aient pas envie de venir faire du surf.

 

http://vk.com/video-59782246_171179716

Deux mois de prison pour avoir empêché un délinquant sexuel d’agresser une femme

Publié le Mis à jour le

En mars 2013, un père de famille de 36 ans, Arnaud Gonnet, se trouve dans une boîte de nuit avec une amie. Un individu présent dans la boîte agresse alors sexuellement la jeune femme, endormie sur une banquette. Sans hésiter, Arnaud Gonnet s’interpose poliment, recevant pour toute réponse alors un coup violent du délinquant sexuel. Il répond alors en conséquence, corrigeant la racaille justement.

Le violeur se prétend alors « sérieusement blessé », parce que son pronostic vital aurait été engagé, et ose porter plainte pour coups et blessures. La justice a condamné l’agresseur sexuel à… quatre mois de prison avec sursis. Et le courageux ami qui s’est interposé à… deux mois, avec sursis également.

//vk.com/video_ext.php?oid=-59782246&id=171179715&hash=345486822e6fb42f&hd=2

https://vk.com/video-59782246_171179714

Pour les juges rouges de Christiane Taubira il n’y a quasiment aucune différence entre un individu qui attaque sexuellement une jeune femme incapable de se défendre et un homme qui s’interpose pour empêcher la commission d’un crime. Pour les magistrats républicains, il faut dissuader à tout prix les Français de faire appliquer la justice et respecter les règles, dans les différends privés comme pour le salut de la nation.

« Le message des magistrats est donc de dire qu’il valait mieux laisser faire l’agression. À une époque où l’on reproche aux passants de ne pas intervenir lorsqu’ils sont témoins de scènes de violence, c’est un jugement incompréhensible mais surtout dangereux »,

a déclaré après le prononcé du verdict l’avocat d’Arnaud Gonnet.

contre l'insécurité retour à la milice nationale2 - Copie

Leurs droits de l’homme : faire mourir les handicapés, tuer les enfants blancs, mais empêcher de tuer les pédocriminels, les trafiquants de drogue et les politiciens traîtres et corrompus

Publié le Mis à jour le

La CEDH valide l’avortement pour les bébés, interdit la peine de mort pour les criminels et autorise l’euthanasie pour les handicapés. Leur Union européenne (UE) s’est fortement mobilisée il y a quelques semaines quand le premier ministre hongrois Viktor Orban a évoqué le rétablissement de la peine de mort. Selon la vulgate européiste alors, tuer une personne était une idée non seulement exclue en tant que telle, mais était exclue même l’idée même d’un débat sur le sujet.

Les mêmes autorités européistes ont pourtant contribué à généraliser à travers l’Europe le génocide des Blancs par l’avortement généralisé. Une autre entité mondialiste, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) vient pourtant de condamner un handicapé à mourir de faim et de soif. Sans surprise, les juges européistes, les mêmes qui valident les dissolutions des mouvements nationalistes et l’emprisonnement des révisionnistes, se sont conformés aux décisions des loges dans l’affaire Vincent Lambert.

Éliminer un criminel pédophile dont il est certain qu’il récidivera est contraire à leurs droits de l’homme. Exécuter un politicien corrompu qui a vendu son pays à l’étranger est contraire à leurs droits de l’homme. Condamner à la peine de mort le chef d’un réseau international de trafic de drogue est contraire à leurs droits de l’homme. Mais tuer des enfants dans le ventre de leur mère est conforme aux droits de l’homme et aux droits de l’enfant. Mais condamner un handicapé dont il est impossible d’obtenir le consentement est conforme à leurs droits de l’homme.

autoc-jn-non-a-ue-oui-nations-

Insultes et menaces : Israël attaque violemment Orange

Publié le Mis à jour le

Nous annoncions hier la volonté du président d’Orange de se retirer du marché en Palestine occupée, où le groupe est jusqu’ici lié à une entreprise israélienne. Les réactions haineuses et menaçantes venues d’Israël se sont multipliées hier.

Le premier ministre de l’entité sioniste, le criminel contre l’humanité Benyamin Netanyahou, a violemment attaqué Stéphane Richard et sommé le gouvernement d’intervenir. Il a exigé que le gouvernement « répudie publiquement la déclaration et l’action misérables » de la société dirigée par l’ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde ; il a tenté de faire de l’acte de ce dernier une attaque antisémite.

« [J’appelle] tous nos amis à déclarer de façon inconditionnelle, d’une voix forte et claire, qu’ils sont opposés à toute forme de boycott contre l’État des juifs »,

a-t-il lancé, sans craindre de s’étendre sur

« le drame absurde dans lequel une démocratie respectueuse des droits de l’homme, l’État d’Israël, se défend contre des tirs de missile et des tunnels de terroristes, puis subit des condamnations automatiques et des tentatives de boycott ».

Les déclamations au nom de la sainte Shoah n’étaient pas loin.

« De façon inquiétante, je n’ai toujours pas entendu de la part des dirigeants français, comme cela a été le cas en Grande-Bretagne, de condamnations des remarques faites par le PDG de France Télecom »,

s’est lamenté le président Reuven Rivlin.

Un rapport rédigé par plusieurs associations pro-palestiniennes révélait il y a quelques jours que

« l’entreprise de télécommunications israélienne Partner exerce des activités économiques et réalise des profits dans les colonies israéliennes, notait le rapport. Elle a construit et possède une centaine d’antennes sur des terres privées palestiniennes confisquées, offre ses services aux colons et à l’armée israélienne, et tire profit des restrictions à l’économie palestinienne. »

De son côté, Orange a tenté de calmer les esprits. Son président s’est exprimé sur la polémique.

« Le groupe Orange n’est pas actionnaire de la société Partner et n’a donc aucune influence sur la stratégie ou le développement opérationnel de celle-ci. Il s’agit d’une entreprise qui utilise le nom d’Orange, mais qui n’a rien à voir avec le groupe et qui n’est pas contrôlée par nous »,

a précisé Stéphane Richard, rappelant d’ailleurs que c’est l’un de ces extraordinaires hasards qui a fait que cette entreprise colonialiste juive est la seule au monde a avoir obtenu de pouvoir utiliser la marque Orange. Une concession qui doit durer jusqu’en 2025.

« Tout cela n’a rien à voir avec le contexte politique »,

a-t-il également affirmé.

« On ne se retire pas d’Israël. […] Il ne [faut] pas chercher à faire une affaire d’une simple question de droit des entreprises  »,

a de son côté indiqué Pierre Louette, un haut dirigeant d’Orange. Au final, tout cela pour en arriver à une piteuse reculade qui ne fera que des mécontents.

israel-aucune-critique-autorisee

Dictature républicaine : le Sénat valide les 3 premiers articles de la loi sur le renseignement

Publié le Mis à jour le

 Après les députés, les sénateurs de leur République ont validé hier les trois premiers articles de la loi dite sur le renseignement. Ils ont notamment adopté l’article 2 de cette loi, malgré la très forte opposition des Français comme des associations de défense des libertés publiques et des différents acteurs, notamment les sociétés liées à Internet.

C’est lui qui va permettre la surveillance généralisée de l’internet en France, avec l’installation de « boîtes noires » directement chez les fournisseurs d’accès. Elles traiteront, grâce à de puissants moyens, l’ensemble des données de connexions des personnes utilisant internet en France. En croisant les informations, elles devraient être capables d’identifier les (futurs) terroristes. De plus, des observations pourront être effectuées en temps réel par les services de sécurité, nécessairement sans contrôle judiciaire.

S’il s’agit officiellement et aujourd’hui de traquer les islamistes, la volonté du gouvernement d’occupation de surveiller tous ses opposants, et particulièrement les nationalistes radicaux, apparaît clairement dans l’énoncé même dans la loi qui vise « la prévention de la reconstitution ou du maintien de mouvements dissous ». C’est très exactement les motifs pour lesquels sont poursuivis actuellement les principaux dirigeants nationalistes, Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac.

leur république est une prison-visu-jn

Le premier article reprend lui les aspects généraux du droit :

« le respect de la vie privée, notamment le secret des correspondances et l’inviolabilité du domicile, est garanti par la loi »,

pour mieux rappeler que les autorités font désormais ce qu’elles veulent et que ces principes ne seront pas respectés dans les cas

« de nécessité d’intérêt public prévus par la loi, dans les limites fixées par celle-ci et dans le respect du principe de proportionnalité. »

Des phrases d’un flou tel qu’il permet toutes les interprétations – qu’est-ce que la « proportionnalité » quand il est question de péril terroriste ou de la « menace fasciste » ? – et qui permet surtout aux parlementaires de s’en laver les mains en ayant obtenu ces inutiles ajouts qui leur donnent bonne conscience.

Ils ont également validé les nouvelles méthodes de sonorisation des lieux privés (maisons, voitures, etc.) comme la localisation et le traçage des véhicules, ainsi que l’interception des données informatiques.

Têtu en redressement judiciaire après… 20 ans de déficit

Publié le Mis à jour le

Il n’y a pas que les torchons antifrançais comme Charlie hebdo – avant la kouachisation de sa rédaction – ou d’extrême gauche comme La Marseillaise qui connaissent de graves difficultés financières, malgré les millions volés au contribuable et dispensés généreusement par les gouvernements d’occupation (fonds stratégique pour le développement de la presse, aides directes à la diffusion, aides fiscales, sociales et postales indirectes, etc.) pour la presse régimiste.

Le journal de propagande homosexualiste Têtu a été placé en redressement judiciaire. Malgré les innombrables soutiens – à commencer par celui de son fondateur, l’oligarque PS Pierre Bergé –, les ventes ont chuté jusqu’à passer sous la barre des 30 000, pire que Charlie hebdo à son plus bas en décembre 2014.

En vingt ans – il a été créé en 1995 –, le journal n’a jamais été bénéficiaire une seule fois. Les dizaines d’asociaux permanents n’ont pu être payés qu’avec l’argent des Français, alors même qu’ils s’en servaient pour détruire notre société. Là où tout autre journal ou entreprise aurait mis la clé sous la porte, Têtu a été maintenu à flot pour permettre à quelques cerveaux malades, plaçant l’essentiel de leur existence dans leur bestialité et leur déviance, de diffuser leur propagande, à grand renfort d’affiches géantes et provocatrices dans les kiosques à journaux.

La justice a accordé quatre mois pour trouver un repreneur.

Tyrannie soi-disant philosophique : le baccalauréat général 2015

Publié le Mis à jour le

Rappelons-nous que la philosophie, principalement développée dans la Grèce antique, est censée représenter la recherche de la sagesse, par un goût prononcé pour icelle. Notamment, les Grecs anciens ont quitté l’idée de la juive Loi du talion –œil pour œil, dent pour dent – afin d’appliquer une justice qui leur semblât plus adaptée à la sagesse de la civilisation hellène.

Tout récemment, les élèves de terminale des lycées que finance la France en Amérique du Nord ont passé l’épreuve de philosophie du baccalauréat général 2015. Ce fut une nouvelle occasion de prendre la mesure du carcan ploutocrate-marxiste qui nous enserre, contraire à toute philosophie digne de ce nom, même s’il regorge d’autoproclamés philosophes, dont les pires usurpateurs de cette qualité se font régulièrement entarter, notamment lorsqu’ils colonisent les églises, malgré les policiers mis à leur disposition par leur République.

[« Bernard-Henri Levy entarté par Noël Godin à Namur en hommage à Siné (VIDÉO) » ; inclut une très courte vidéo]

Vidéo de deux minutes sans commentaires :

 

 

 

Des scientifiques pas censés être patriotes

Dans la série scientifique, il était possible de plancher sur un texte de Nietzsche promouvant les systèmes de sanctions et de récompenses pour inciter les hommes à bien agir. Le passage extrait de Humain, trop humain, se termine ainsi :

« Si peine et récompense disparaissaient, du même coup disparaîtraient les motifs les plus puissants [sic] qui détournent de certaines actions et poussent à certaines autres ; l’intérêt de l’humanité en exige la perpétuation. »

A priori, ce texte peut sembler « rétrograde » face au laxisme judiciaire généralisé en Europe et plus particulièrement en France occupée.

education-nationale-stop-au-poison-marxiste

Cependant, il fait fi de la véritable éducation et du sens du bien commun qui caractérisent les sociétés ethniquement homogènes. En effet, dès lors que le groupe humain est un véritable peuple, uni par une histoire commune et de longues arborescences familiales, qui pourrait encore avoir l’idée de nuire au groupe, sinon les quelques individualistes matérialistes obsessionnels éventuellement « nés sous une mauvaise étoile » ?

Sans même que nous abordions la notion absolue et « ringarde » de bien et de mal, ce sujet d’apparence séduisante est donc l’occasion de remarquer que, non contente de détruire tout sentiment national – comme l’ex-URSS tenta de le faire plus particulièrement dans les États baltes – leur République ne se situe même plus au niveau de la sanction ni même de sa menace face au résidu de la société, mais accepte la multi-récidive – avec ou sans bracelet électronique – permettant de tyranniser un peu plus les Français… en France, terrain de jeu de toutes les mafias qui le souhaitent.

 

 

 

Des libéraux-marxistes pas censés connaître l’histoire

Dans la série économique et sociale [sic], on pouvait apporter une réponse à la question suivante :

« À quoi reconnaît-on qu’une théorie est scientifique ? »

Les « conclusions » du Tribunal militaire international le plus sombre de notre histoire n’ayant pas été présentées par son rouge commissaire comme des théories, il ne semble pas judicieux d’avoir écrit qu’une loi républicaine issue du parlementarisme moderne suffise à rendre scientifique une théorie.

D’ailleurs, sur ce sujet sensible s’il en est pour leur pouvoir, toute idée d’une démonstration scientifique que ce soit de faits ou encore de leur simple faisabilité technique est rejetée et condamnée tyranniquement par les zélés juges du régime, s’appuyant sur les décisions précédentes, pourtant déjà iniques elles-mêmes. Ironiquement, cette attitude a tendance à reléguer certains contenus des manuels d’histoire au rang de… théories scientifiquement indémontrables, ce qui tendrait à prouver que la justice ment, fait d’une gravité certaine.

Même les littéraires ne disposent pas d’une vraie liberté de composer

Dans la mesure où cet état du droit actuellement appliqué par les tribunaux de leur République leur permet d’exercer sur nous la tyrannie qu’ils désirent, nous pourrons citer un autre sujet, qui peut également être rapproché du freudisme maladif au moyen duquel on veut nous soumettre et nous abêtir.

Ainsi, dans l’autre série du baccalauréat général, la littéraire, on pouvait traiter :

« Tout désir est-il tyrannique ? »

Outre qu’il ne faut surtout pas parler de vertu, ni encore moins de pêché véniel ou mortel si on veut récolter des points, qualifier les théoriciens de l’histoire de tyrans prenant leurs désirs pour des réalités était évidemment banni.

D’ailleurs, la situation est bien pire que ça.

En effet, en premier lieu, ceux qui se plaignent d’un passé qu’ils refusent de prouver sont psychologiquement suffisamment tortueux pour désirer que ce soient produits des faits (le meurtre de certains de leurs coreligionnaires), dont ils seraient pourtant censés vouloir…. qu’ils ne se soient pas réalisés !

En second lieu, les occupants accusent, et font emprisonner par leurs larbins ultra-matérialistes, les chercheurs qui mènent une démarche scientifique sur LE sujet sensible. Mais, ce faisant, les historiens en quête de vérité ne sont pas seulement accusés de nier, ce qui est déjà aberrant puisque la raison d’être d’un historien est que l’histoire existe vu que son activité principale est d’établir le déroulement et d’exposer le contenu de ladite histoire.

En réalité, les pervers au pouvoir vont encore bien plus loin. Pour preuve, on a interdit toute liberté d’expression de propos dits « antisémites », alors que les propos et actes anti-chrétiens foisonnent impunément. Et on condamne, en prétendant que les recherches des « révisionnistes » seraient simplement motivées par cette opinion-là : un anti-judaïsme.

Et pour quelle raison ?

Parce que les tenanciers des prétoires osent affirmer qu’en réfutant les écrits des vainqueurs, les vrais historiens exprimeraient le regret que des meurtres planifiés et de masse… ne se soient pas produits. (Meurtres supérieurs au nombre des victimes potentielles vivant alors en Europe, et dont il faudrait aussi déduire les millions de « rescapés », ce qui est loin d’être un détail et amène forcément à des chiffres politiquement très dissidents.)

Autrement dit, on reproche à l’honnête homme, pour le condamner du seul fait qu’il émettrait des doutes, de regretter [sic] que ça ne se soit pas passé de la manière dite par la doxa. Ainsi, tout individu qualifié de « révisionniste » serait une sorte de masochiste qui aimerait se faire « souffrir », en cherchant à démontrer que les conclusions auxquelles il arrive seraient opposées à l’histoire telle qu’il aurait souhaité qu’elle fût. L’historien indépendant n’aurait donc que le seul « plaisir » malsain de se torturer l’esprit, alors qu’il lui suffirait de cesser ses recherches et de se satisfaire de la lecture des livres qu’on trouve dans tous les pays dont les dirigeants adhèrent au mondialisme messianique, donc dans toutes les bibliothèques de France, par exemple.

Dès lors, face à cette démarche intellectuelle absolument mensongère des détraqués freudiens de la mémoire, il n’est guère étonnant que certains esprits ne voient dans cette dernière qu’une simple théorie… pas très scientifique puisque indémontrable et suffisamment fragile pour que le Système confisqué pousse au silence tout cerveau non branché sur les gros médiats de type TF1.

 

 

 

Plus ils déclament « justice » et « équité », moins ils les appliquent

Il n’est donc pas étonnant que, même au sein de la secte, on s’entredéchire parfois, puisque leur accumulation a fini par faire apparaître crûment les fumisteries, tant sont nombreuses les contradictions intrinsèques à l’échafaudage hystérique, amplifié par le trotskisme et par les laquais de la finance.

Pour maintenir leur ligne politique, les tribunaux dits « indépendants » en sont alors réduits à fermer les yeux sur les arguments des prévenus… et à les condamner systématiquement.

Or, toute cette démarche judiciaire de refus d’analyser l’ensemble des mémoires en défense et de rejeter toute démarche pour la manifestation de la vérité contrevient absolument, aussi bien au rôle officiel de la justice qu’au droit prétendument garanti d’un « procès équitable »: plus qu’une dictature dite « douce », c’est une tyrannie du silence complice et du mensonge institutionnalisé.

 

 

 

 

L’abolition de la peine de mort… sauf dans certains cas

Il devient dès lors très difficile de ne pas établir un parallèle avec le refus de la peine de mort.

En effet, son absence dans le droit d’un pays suppose évidemment qu’on tente d’arrêter, sans les tuer, les gens à qui on reprocherait un crime, afin de pouvoir leur appliquer un procès équitable qui ne les exposera qu’à une peine de prison.

Or, l’entité sioniste en Palestine, mue par ceux qui prétendent combattre la peine de mort urbi et orbi, agit autrement, en tuant les gens jusque chez eux, tandis qu’elle prétend ne pas appliquer la peine capitale.

De même, leur République n’a pas cherché à arrêter son enfant qui a « kouachisé » un magasin communautariste au nom américanisé d’« hyper casher ». En effet, l’individu armé est sorti de la boutique désormais vénérée par le Français renié et pro-djihad Cazeneuve, avec son fusil sur le dos et les mains devant lui. Les flics républicains auraient donc pu tout simplement saisir les poignets du Maghrébin en cause et l’embarquer pour un interrogatoire avant un procès censé être juste. Pourtant, on a fait exploser quelques pétards pour exciter les bleus et ils ont abattu bêtement la cible qu’on leur avait désignée. De toute évidence, certains, avec les ricochets au sol, ont même tiré dans les jambes de leurs collègues placés en face d’eux : il n’y a pas de limite quand on s’abaisse à obéir aux ordres des colons au pouvoir, puisque leur but ultime est le Néant mondial !

La farce de leur « séparation des pouvoirs »

Ainsi fonctionne leur prétendu « État de droit », censé se caractériser par la séparation des pouvoirs. En réalité, leur pouvoir exécutif (ministères et police) exerce frauduleusement, quand ils le souhaitent, le pouvoir judiciaire (justice), en contrevenant aux textes issus du pouvoir législatif (lois votées par le Parlement)… censés garantir une justice indépendante, notamment vis-à-vis des accès de colère des ministres. (Colère peut-être parfois un peu surjouée pour complaire à leurs maîtres ultimes).

Ne voulant pas, nous-mêmes, être manichéens, nous ferons preuve de charité chrétienne en proposant à ceux des futurs bacheliers qui seraient de ces psychopathes projetant leur folie sur les autres, des solutions susceptibles de nous en débarrasser provisoirement.

Ainsi, ils peuvent s’inscrire dans l’université prétendument catholique Peter Pazmany de Budapest, en Hongrie, pour y suivre des cours obligatoires de Shoah, incluant probablement de la repentance et des interventions extérieures de beaux-frères et belles-sœurs de miraculés.

 

 

 

Plaque commémorative supprimée par racisme anti-blanc

Alternativement, ils pourront aussi choisir l’université états-unienne de Chapel Hill, où on a débaptisé un bâtiment qui portait le nom d’un ancien élève car il avait été, par la suite, membre du Ku Klux Klan. Peu importe que le colonel William Laurence Saunders, mort en 1891, avait ainsi été honoré pour

« reconnaître son travail de rassemblement de documents historiques » !

Nul doute que son approche scientifique de l’Histoire basée sur des documents irritait depuis longtemps d’autres suprémacistes qui préfèrent nous manipuler avec l’émotion hollywoodienne.

Plaque en l'honneur colonel William Laurence Saunders
Plaque en l’honneur colonel William Laurence Saunders

On trouve cependant encore de nombreux livres d’histoire édités par l’État de Caroline du Nord auxquels Saunders a participé, voire dont il est l’auteur principal, sinon unique, lui qui fut secrétaire d’État au niveau local.

Enfin, il est possible aux plus déprimés des étudiants d’aller dans d’autres universités sises aux États-Unis d’Amérique pour y écouter une de leurs vedettes, comme à Harvard, où l’actrice israélo-américaine [sic], Nathalie Portman est allée parler d’elle à la future soi-disant élite du cosmos.

5 997 800 chômeurs fin avril : nouveau record historique

Publié le Mis à jour le

Selon les chiffres du gouvernement, le nombre de chômeurs a battu un nouveau record, atteignant un nouveau plus haut historique en avril. Pôle emploi a annoncé que le nombre de chômeurs, pour l’ensemble des catégories (A, B, C, D, E), a atteint 5 997 800. L’augmentation est de 5,92 % en un an, de 0,84 % en un mois, et de 73,42 % en sept ans.

Pour la catégorie A, les personnes n’ayant pas du tout travaillé et cherchant du travail, l’augmentation est de 26 200 chômeurs en un mois (+0,75 %), de 171 900 en un an (+5,11 %). Alors que le gouvernement a multiplié les annonces optimistes et les déclarations laissant croire à la « reprise » et à la baisse du chômage ces dernières semaines, il s’agit des pires résultats depuis le début de l’année.

Comme désormais chaque mois, le chômage augmente indifféremment pour tous les types de chômeurs, de longue durée comme inscrits depuis peu, les femmes comme les hommes, les jeunes comme les vieux.

Pour seule réaction, le gouvernement a annoncé le financement par le contribuable de 100 000 nouveaux faux emplois et réaffirmé que la situation économique allait mieux, qu’il n’y avait plus qu’à attendre.

chomage France avril 2015

L’ancien ministre de l’Intérieur de Sárközy jugé pour détournement

Publié le Mis à jour le

L’ancien ministre de l’Intérieur de Sárközy jugé pour détournement

Le très sárközyste Claude Guéant a été renvoyé devant la justice sous l’accusation de complicité et recel de détournement de fonds publics par ordre et instruction. Alors qu’il était ministre de l’Intérieur entre 2002 et 2004, il a reçu illégalement chaque mois 10 000 euros en liquide – soit plus de 240 000 euros en deux ans. Claude Guéant et ses proches s’octroyaient­ des « primes » en prenant l’argent dans des fonds secrets censés être utilisés comme frais d’enquête et de surveillance par les policiers, utilisés notamment pour payer les ‘indics’.

L’enquête avait débuté en 2013 après les perquisitions menées dans le cadre des investigations dans l’affaire du financement libyen de la campagne de Nicolas Sárközy. Les policiers avaient découvert que Claude Guéant était allé pour blanchir l’argent jusqu’à payer certaines factures allant jusqu’à 50 000 euros en liquide. Outre le détournement de fonds publics, une partie de l’argent pourrait également venir d’une autre fraude sur laquelle les enquêteurs travaillent toujours. L’ancien ministre de l’Intérieur avait évoqué la vente de tableau de famille pour 500 000 euros. Il est actuellement mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale en bande organisée, faux et usage de faux.

Les écoutes téléphoniques ont démontré par ailleurs que le très exemplaire Claude Guéant avait contacté son homologue très républicain Michel Gaudin pour mettre au point un alibi.

-Quel con j’ai été de garder des factures ! Franchement…

-C’est pour ça que là, on pourrait peut-être se voir… Discrétos.

s’étaient dit les deux sárközystes.

L’argent finissait en réalité dans les poches des plus hauts salaires du ministère de l’Intérieur, Claude Guéant arrosant ses collaborateurs, comme des générations de ministres corrompus et républicains – corrompus parce que républicains – avant lui. Il s’agissait d’une double entorse à la loi : le même Claude Guéant, alors directeur général de la police nationale, en 1998, avait interdit cette pratique. En janvier 2002, le gouvernement avait de son côté interdit les primes de cabinet, derrière lesquelles se cache Claude Guéant pour expliquer les faits.

Il sera jugé avec un autre très proche de Nicolas Sárközy, l’ancien préfet de police de Paris et ancien directeur général de la police nationale Michel Gaudin, nommé depuis directeur du cabinet de Nicolas Sárközy. Trois autres préfets se retrouveront sur le banc des accusés aux côtés de deux anciens directeurs de la police nationale (sic) : Daniel Canepa, Michel Camux et Gérard Moisselin. Ils encourent dix ans de prison. Si dans un État sain leur qualité de hauts fonctionnaires leur ferait encourir dix fois plus, la justice républicaine devrait leur infliger, au mieux, dix fois moins.

corruption-moraliser-la-vie-publique-solution-jn--749x451